Derniers jours en terre de France !
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Qu’il est difficile de mettre tout le monde d’accord !

En état d’infériorité numérique, moins de 40 000 hommes contre plus de 100 000 à l’ennemi, les troupes chargées de défendre Paris ne pouvaient espérer résister très longtemps face à l’envahisseur. Quant aux murailles et autres fortifications, que Napoléon avait ordonné qu’on renforça quelques semaines plus tôt, elles paraissaient bien insuffisantes en ce mois de mars pour espérer contenir le flot de la soldatesque étrangère. Sans surprise, la capitulation fut signée dans la nuit du 31 mars après quelques heures d’un combat inégal et Napoléon, qui tentait de rejoindre Paris, dut prendre la route de Fontainebleau. Caulaincourt fut chargé de négocier la paix auprès des Alliés. La tâche ne s’annonçait guère aisée, l’ennemi ne semblant pas disposer à traiter. Le 2 avril, la déchéance de l’empereur, votée par le Sénat, ne laissa à Napoléon d’autre choix que l’abdication. Des coalisés, le tsar se montra le plus conciliant. Alexandre prit l’engagement d’offrir au vaincu un « établissement convenable et indépendant » à condition que ce ne soit ni en France, ni en Italie, ni même sur le continent. Il offrit également à Napoléon de l’accueillir en Russie puis suggéra l’Île d’Elbe.

Il fallut encore quelques jours, de nouvelles défections dans les rangs de l’armée impériale et de nouveaux palabres, pour convaincre l’empereur qu’il n’y avait pas d’autre issue possible. Caulaincourt réclama pour son maître un établissement sûr, qui ne soit pas trop éloigné et qui bénéficierait d’un bon climat. La Corse, la Sardaigne et Corfou furent jugés trop vastes pour l’empereur déchu. Finalement, on proposa à nouveau l’Île d’Elbe tant celle-ci semblait répondre aux critères recherchés. Après quelque hésitation, Napoléon accepta mais posa ses conditions. Il exigea qu’on lui verse 2 millions de francs de revenus annuels et demanda la Toscane pour l’impératrice, ou d’autres terres susceptibles de produire un revenu net de 3 millions. Il sollicita encore pour chacun de ses frères et sœurs le versement d’une rente annuelle de 500 000 francs, étant entendu, en outre, que tous conserveraient leur rang. Napoléon insista aussi pour que l’impératrice le rejoigne bientôt dans son nouveau royaume. Caulaincourt fut à nouveau chargé de défendre les intérêts de l’empereur auprès des Alliés. La partie était loin d’être gagnée ! Le choix de l’Île d’Elbe, en particulier, ne ralliait pas tous les suffrages. Très réservés sur le contenu du traité qui se dessinait, les Anglais et les Autrichiens tardaient à approuver les promesses faites par les Russes et voulaient voir l’empereur banni hors du continent européen. Le tsar fit savoir son mécontentement aux Alliés. Il était hors de question de revenir sur la parole donnée ! Finalement, après d’âpres discussions et quelques concessions, le traité de Fontainebleau prit sa forme définitive dans la soirée du 10 avril.

Napoléon renonçait, pour lui, sa famille et sa descendance, aux trônes de France et d’Italie. En contrepartie, on offrit que chacun puisse conserver ses titres. L’Île d’Elbe, érigée en principauté indépendante, reviendrait à l’empereur en « toute souveraineté et propriété », sa vie durant. Marie-Louise reçut les duchés de Parme, Plaisance et Guastalla. Ce n’était certes pas la Toscane demandée, mais, somme toute, la compensation avait de quoi satisfaire l’impératrice. Eugène de Beauharnais, -le fils de Joséphine-, qui perdait la vice-royauté d’Italie, se vit promettre « un établissement convenable hors de France ». Il lui fallut néanmoins patienter jusqu’en novembre 1817 pour se voir accorder le petit duché bavarois de Leuchtenberg. Le traité de Fontainebleau régla aussi les questions financières. La France versera à Napoléon 2 millions de francs de rente annuelle, dont un réversible à Marie-Louise, et 2,5 millions aux membres de sa famille (300 000 francs à Madame mère, 500 000 à Joseph et Julie, 200 000 à Louis, 400 000 à son épouse Hortense et leurs enfants, 500 000 à Jérôme et Catherine, 300 000 à Elisa et 300 000 à Pauline). On n’oublia pas Joséphine, lui réservant à elle-aussi une rente annuelle d’un million de francs. La malheureuse n’eût guère le temps d’en jouir très longtemps. Son décès, le 29 mai 1814, vint régler définitivement la question. Les Alliés firent peser ces dépenses sur les maigres finances de la France, inscrivant ces sommes sur le Grand Livre des dépenses de l’Etat. D’un autre côté, le royaume récupérait les propriétés de Napoléon, les diamants de la Couronne et la quasi-totalité des placements de l’empereur.
Restait à assurer la sécurité et le transfert du vaincu. Napoléon se voyait attribuer un détachement de la garde impériale, soit de 1 200 à 1 500 hommes chargés de l’accompagner jusqu’à son lieu d’embarquement pour l’île d’Elbe, ainsi qu’une corvette armée pour la traversée. Sur place, la sécurité de l’empereur serait assurée par une troupe de 400 hommes, tous volontaires. Il était convenu qu’au bout de trois ans, ceux qui décideraient de rester aux côtés de Napoléon, parents ou simplement membres de sa suite, perdraient définitivement la nationalité française. La Russie, la Prusse et l’Autriche, puissances signataires du traité de Fontainebleau, garantissaient la bonne application des 21 articles et s’engageaient à les faire ratifier par la France. Caulaincourt, Ney et Macdonald n’eurent plus qu’à signer pour l’empereur, au matin du 11 avril. Comme attendu, les Anglais, en la personne de Castlereagh, refusèrent d’approuver le traité.
L’affaire n’était point encore entendue ! Restait maintenant à faire ratifier le traité par les différents souverains concernés. On tergiversa encore. Le tsar fut le plus rapide à souscrire, dès le 12. Le 16, François Ier, pour l’Autriche, et Frédéric-Guillaume III, pour la Prusse, firent de même. L’Angleterre fit à nouveau des difficultés. Décidément, le choix de l’île d’Elbe avait du mal à passer. On aurait préféré voir l’empereur partir pour l’Ecosse, les Açores ou même… Sainte-Hélène ! Pour ne pas fâcher tout le monde, le cabinet anglais approuva les dispositions territoriales mais émit des réserves… sur tout le reste ! Pour la Couronne britannique, ce fut là une manière de gagner du temps et de ne pas se lier les mains pour l’avenir. Côté français, on ne se montra guère plus empressé. Le gouvernement provisoire tardait à signer, espérant qu’une fois les troupes étrangères parties, on pourrait facilement revenir sur les clauses financières. Alexandre se fit menaçant et tout rentra finalement dans l’ordre. Cette fois, l’essentiel était acquis : Napoléon partirait bien pour son île méditerranéenne ! Avec le recul, la magnanimité dont le tsar fit preuve à l’égard de l’empereur déchu étonne encore. Bien décidé à se conduire en homme d’honneur qui ne renie pas ses promesses, animé d’une foi qui l’incite à pardonner à son ennemi, nourrissant une certaine amitié pour l’habile Caulaincourt, le tsar joua un rôle déterminant dans la conclusion du traité et entraina son monde. En réalité, le traité était bien fragile et beaucoup nourrissaient rancœurs et arrière-pensées.

Lendemains difficiles et préparatifs de départ

Les derniers jours de Napoléon à Fontainebleau furent au-delà du pénible. Conscient de l’ampleur du drame qu’il lui fallait affronter, il essaya, sans succès, de mettre fin à ses jours dans la nuit du 12. Très affecté par un sort contraire, il oscillait entre l’abattement, la résignation et parfois la révolte, maudissant au passage la défection des uns et des autres. Tantôt aussi, il se montrait plus calme et serein, préoccupé par son prochain établissement sur l’île d’Elbe. Comble de l’humiliation, l’arrivée prochaine des commissaires mandés par ses ennemis le tourmentait. Dans la matinée du 13, Napoléon signa le traité de Fontainebleau que le comte Orlov et le maréchal Macdonald étaient venus lui présenter. Récupérant peu à peu de son « indisposition » de la nuit, -c’est ainsi qu’il évoqua son geste désespéré devant la délégation qu’envoyèrent les Alliés-, il sembla se résigner à vivre et évoqua la possibilité, déjà, d’écrire « l’histoire des braves » !

A Fontainebleau, l’atmosphère était celle des fins de règne. Vidé de ses courtisans, le palais n’était plus qu’une immense bâtisse déserte maintenant occupée par un empereur solitaire, vivant entouré de ses domestiques. Napoléon ne quittait plus ses appartements que pour de courtes promenades dans ses jardins. De nouvelles déceptions l’attendaient. Quelques-uns parmi les plus fidèles préférèrent s’en aller sans même lui dire adieu. Il fallut se rendre à l’évidence, les grands ne le suivraient pas. D’ailleurs, comment les aurait-il entretenus ? Berthier, chef d’Etat-Major de la Grande Armée, quitta donc sa propriété de Fontainebleau dans la soirée du 17, convaincu que l’empereur abandonnerait définitivement son palais le 18. Caulaincourt préféra se retirer à la campagne tandis que le maréchal Ney s’était déjà rallié au nouveau régime, dès le 11, acceptant l’offre de Talleyrand et du gouvernement provisoire. Il faut dire que Napoléon lui-même avait entrepris très tôt de rédiger des lettres de remerciements à ceux qui l’avaient bien servi. N’était-ce pas là le signe que l’empereur les laissait libres de se rallier au nouveau pouvoir qui se mettait en place ? Les absences de l’impératrice et de son fils causaient également de grands tourments à Napoléon qui chercha, en vain, à les faire venir auprès de lui. Il était pourtant encore loin de se douter qu’il ne reverrait plus, ni l’un, ni l’autre. Marie-Louise s’était installée au château de Rambouillet qu’occupait l’empereur d’Autriche, son père, et avait accepté de gagner Vienne pour s’y reposer.
Dans les jours qui suivirent, il fallut régler les modalités du voyage qui s’annonçait. On fixa au 20 le jour du départ. Napoléon manifesta de l’anxiété. Il déclara ne pas vouloir partir si le gouvernement français persistait dans son projet de désarmer les fortifications de l’île. Les Alliés s’efforcèrent de le rassurer sur ce point. L’incident était révélateur. Napoléon craignait pour sa propre sécurité. Le chemin lui semblait bien long et incertain. De plus, comment serait-il accueilli sur place par la population elboise ? Qu’adviendrait-il s’il ne pouvait débarquer ? Par ailleurs, d’inquiétantes rumeurs circulaient à son propos et la perspective de devoir s’en remettre à ses ennemis de la veille pour assurer désormais sa propre sécurité ne l’enchantait guère. A l’évidence, certains souhaitaient voir l’empereur disparaître physiquement et ne s’en cachaient pas. Que de funestes projets aient été échafaudés à l’époque ne paraît pas douteux aujourd’hui. Jusqu’à la dernière minute, Napoléon hésita à partir. Finalement, le 20 avril, en fin de matinée, il fit ses adieux à la Garde. Son discours terminé, après avoir embrassé une dernière fois le drapeau, l’empereur s’engouffra dans une berline aménagée pour le voyage. Le convoi se mit en route…

Une route semée d’embûches !

Le parcours ne fut pas de tout repos. Pour rassurer l’empereur sur son sort, les Alliés avaient envoyé des commissaires pour l’escorter jusqu’à Saint-Tropez. Le choix des hommes parut judicieux à Napoléon, qui s’en félicita. A ses côtés, voyagèrent donc le Russe Chouvalov, le Prussien Waldburg-Truchsess, l’Autrichien Koller et l’Anglais Campbell. La voiture dans laquelle l’empereur avait pris place était précédée par celle du général Drouot. Une soixantaine de cavaliers encadraient la dormeuse réservée à l’empereur. Les calèches des commissaires, des aides de camp, des officiers de la Maison impériale et des domestiques complétaient le convoi. Les rues de Fontainebleau, Briare, Nevers furent traversées sous les acclamations d’une foule enthousiaste. Les choses allaient vite se gâter, et, pour ne rien arranger, des troupes étrangères prirent le relais des cavaliers de la Garde qui s’arrêtèrent là ! Dès Roanne, certains arboraient des cocardes blanches et les acclamations à la gloire du roi ne laissaient rien présager de bon pour la suite. Par prudence, on ne s’arrêta plus que pour changer d’attelage. Dans la nuit du 23 au 24 avril, le cortège traversa rapidement Lyon puis Vienne. A Montélimar, un souper fut servi à l’empereur qui en profita pour sonder le sous-préfet sur les sentiments des populations à son endroit. Peu rassuré, Napoléon décida de repartir le soir même malgré les quelques acclamations de ses partisans encore audibles. La plupart du temps, les habitants rassemblés se montraient simplement curieux, souvent indifférents.

L’inquiétude qui gagnait les esprits était justifiée. La situation empira. Au passage du convoi, les foules, souvent gagnées aux idées royalistes, se firent franchement hostiles. Injures et jets de pierre pleuvaient sur les infortunés voyageurs. Si la traversée d’Avignon fut pénible, à Orgon, les plus virulents trainèrent au sol un mannequin ensanglanté, revêtu d’un uniforme français, sur lequel on avait épinglé un message des plus explicites, promettant le même sort au tyran. Décidément, l’affaire prenait mauvaise tournure. A Port-Royal et Saint-Canat, les foules en colère essayèrent d’ouvrir les portes des voitures. Les assaillants, des paysans pour la plupart, étaient peu armés, mais un lynchage restait toujours possible. L’empereur, déguisé en simple courrier, chevauchait maintenant seul devant sa voiture pour ne pas être reconnu. Il passa de justesse entre les mailles du filet avant de s’arrêter dans une auberge, près d’Aix-en-Provence. Par crainte d’être empoisonné, il refusa le repas proposé et manifesta les plus vives inquiétudes. Après avoir endossé l’uniforme autrichien du général Koller, Napoléon reprit sa route vers minuit, le soir-même. Au petit-matin du 26, il prit une collation dans une auberge et y rencontra le sous-préfet d’Aix, lequel dut supporter un flot de reproches : « c’est une méchante race que les Provençaux, qui ont commis toutes sortes d’horreur et de crimes durant la Révolution et qui sont tout prêts à recommencer » ! L’après-midi fut plus calme. Napoléon parvint à rejoindre les abords de Luc, où il rendit visite à sa sœur Pauline, temporairement hébergée chez le député Charles. Le plus dur était passé. Le lendemain, 27 avril, Napoléon put reprendre la route, sans plus avoir à se déguiser. Deux escadrons de hussards autrichiens, appelés en renfort, vinrent sécuriser le convoi jusqu’à Fréjus.

L’embarquement à Saint-Raphaël

Les dispositions prises pour la traversée par la marine française, désormais celle du roi, furent inutiles. Méfiant, Napoléon préféra confier aux Anglais le soin de l’acheminer sur l’île. Bien lui en prit. Le commissaire anglais Campbell organisa parfaitement le voyage. Une frégate, l’Undaunted, mouillait donc tranquillement en baie de Saint-Raphaël dans l’attente d’embarquer l’empereur. C’était là un navire de guerre bien mieux armé que le modeste brick mis à sa disposition par le gouvernement français. Dès lors, Napoléon n’eut plus qu’à se concentrer sur sa destination finale. Le 28, au soir, tout était réglé. 300 dragons autrichiens escortèrent la berline de l’empereur jusqu’au petit port de Saint-Raphaël. Napoléon embarqua vers neuf heures. On eût pour lui quelques égards. L’événement fut salué par une salve de 21 coups de canon tandis que, par courtoisie, le capitaine anglais Ussher lui céda sa cabine pour la traversée. Pour la première fois depuis bien longtemps, Napoléon se sentit en sécurité, et, par une ironie cruelle, ce fut sous la garde attentionnée et prévenante des Anglais qu’il parvint à l’île d’Elbe ! Seule une tempête en mer vint obscurcir le voyage. En la circonstance, Napoléon se montra très à l’aise, forçant au passage l’admiration de l’équipage. Son humeur changea du tout au tout. Parlant très librement de l’avenir, il fit part de sa certitude que les Bourbons seraient chassés du pouvoir dans les six mois ! Il jugea aussi le gouvernement provisoire responsable de la périlleuse traversée de la Provence qu’il venait de vivre. Le 3 mai, on vit poindre à l’horizon les côtes elboises et l’Undaunted entra en rade de Portoferraio. Napoléon allait pouvoir bientôt découvrir son nouveau royaume ! •

Ecrit par Christian Dutot, historien journaliste

Pour approfondir…

BOUDON (Jacques-Olivier), Histoire du Consulat et de l’Empire, Perrin, 2000.

BRANDA (Pierre), Napoléon et ses hommes. La Maison de l’Empereur (1804-1815), Fayard, 2011.

CAULAINCOURT (Armand de), Mémoires, tome III : L’Agonie de Fontainebleau, Plon, 1933.

LABORDE (Etienne), Napoléon et sa garde ou Relation du voyage de Fontainebleau à l’île d’Elbe en 1814, souvenirs présentés et annotés par Christophe Bourrachot, Editions d’un demi-solde, 2011.

LENTZ (Thierry), Les vingt jours de Fontainebleau. La première abdication de Napoléon (31 mars-20 avril 1814), Perrin, 2014.

TULARD (Jean), Napoléon ou le mythe du sauveur, Fayard, 1998.

TULARD (Jean), sous la dir. de, Dictionnaire Napoléon, Fayard, 1999.

TULARD (Jean), GARROS (Louis), Napoléon au jour le jour, Tallandier, 2002.

WALDBURG-TRUCHSESS (Louis-François), Nouvelle relation de l’itinéraire de Napoléon de Fontainebleau à l’île d’Elbe, suivie de Suite de l’itinéraire de Napoléon d’après le récit que m’a fait lui-même le général Koller, C.L.F. Panckoucke, 1815.

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À propos de l’auteur
Christian Dutot

Christian Dutot

Christian Dutot Historien. Diplômé de l’Université Bretagne occidentale de Brest. Après avoir enseigné l’histoire militaire aux Ecoles de Saint-Cyr Coëtquidan, où il contribue à la rédaction d’un « Précis d’histoire militaire » et d’un « Précis de relations internationales (1914-1945) », Christian Dutot rejoint ensuite l’Université Catholique de l’Ouest-Bretagne Sud. Chargé de cours en histoire médiévale et histoire de l’art, il enseigne également des modules optionnels tels que la diplomatique médiévale et la numismatique. Au cours de ses années d’enseignement, Christian Dutot a aussi suivi les travaux de recherche de ses étudiants et est intervenu dans de nombreux séminaires («L’historien et les nouvelles technologies»...), colloques («Vannes et ses soldats»...) et conférences («Le connétable Arthur de Richemont et ses Bretons», «La fabrication de toiles en Bretagne à l’époque moderne»...). Diplômé en «Civilisations et cultures de la Bretagne et des Pays de langues celtiques». Christian Dutot est rédacteur en chef du magazine France Terres d’Histoire.
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